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affiche de l'événement

Spectacle

Moi, Caravage de et avec Cesare Capitani

Du mercredi 11 janvier 2017 au dimanche 12 mars 2017 à 18h30

Le Lucernaire
53 rue Notre Dame des Champs - 75006 Paris

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Le Lucernaire
53 rue Notre Dame des Champs - 75006 Paris

du mardi au samedi (le mardi en Italien)

à 18h30

En écrivant La Course à l'abîme, roman qui tente de ressusciter par l'écriture la figure du peintre Caravage, je ne pensais pas voir jamais ressurgir celui-ci, sous mes yeux, en chair et en os, cheveux noirs et mine torturée, tel que je me l'étais imaginé, brûlé de désirs, violent, insoumis, possédé par l'ivresse du sacrifice et de la mort. Eh bien, c'est fait : Cesare Capitani réussit le tour de force, d'incarner sur scène cet homme dévoré de passions. Il est Caravage, Moi, Caravage, c'est lui. Il prend à bras le sorps le destin du peintre pour le conduire, dans la fièvre et l'impatience, jusqu'au désastre final.
Dominique Fernandez

Cesare Capitani s'est inspiré de La Course à l'abîme de Dominique Fernandez (Grasset) pour ce fascinant autoportrait de Michelangelo Merisi dit Caravage. Cette confession fièvreuse, ponctuée comme dans un rêve éveillé par des chants a cappella, est un véritable choc esthétique et émotionnel.

Cesare Capitani fait revivre avec passion cet artiste rebelle qui a bouleversé à jamais la peinture par son oeuvre d'un réalisme brutal et d'un érotisme troublant.

Cesare Capitani

Cesare Capitani

Né à Milan (Italie), Cesare Capitani est diplômé de l’École du Piccolo Teatro, créée par Giorgio Strheler. En 1998, il écrit Rhapsodie, pièce théâtrale primée au concours Vallecorsi de Pistoia ainsi que plusieurs nouvelles, dont certaines seront primées à différents concours littéraires italiens. La même année, il vient à Paris et décide de s’y installer.

Comédien, il joue Penthésilée de H. Von Kleist, Hamlet et Roméo et Juliette de W. Shakespeare, La Fausse Suivante de Marivaux, Quai Ouest de B. M. Koltès, Le Fascinant Anton Pavlovic de G. Prosperi, Plaza Suite de N. Simon. Il met en scène La Traversée de la Nuit de G. de Gaulle-Anthonioz et Pinocchio qu’il adapte du conte de Carlo Collodi. Il est l’auteur et l’interprète principal de Moi, Caravage, inspiré du roman La Course à l’Abîme de Dominique Fernandez.

Il est l'auteur de deux livres sur Galilée. Et le Moi, Caravage, a été traduit en Italien sous le titre Io, Caravaggio.

www.cesare-capitani.com

Cesare Capitani

Cesare Capitani

Né à Milan (Italie), Cesare Capitani est diplômé de l’École du Piccolo Teatro, créée par Giorgio Strheler. En 1998, il écrit Rhapsodie, pièce théâtrale primée au concours Vallecorsi de Pistoia ainsi que plusieurs nouvelles, dont certaines seront primées à différents concours littéraires italiens. La même année, il vient à Paris et décide de s’y installer.

Comédien, il joue Penthésilée de H. Von Kleist, Hamlet et Roméo et Juliette de W. Shakespeare, La Fausse Suivante de Marivaux, Quai Ouest de B. M. Koltès, Le Fascinant Anton Pavlovic de G. Prosperi, Plaza Suite de N. Simon. Il met en scène La Traversée de la Nuit de G. de Gaulle-Anthonioz et Pinocchio qu’il adapte du conte de Carlo Collodi. Il est l’auteur et l’interprète principal de Moi, Caravage, inspiré du roman La Course à l’Abîme de Dominique Fernandez.

Il est l'auteur de deux livres sur Galilée. Et le Moi, Caravage, a été traduit en Italien sous le titre Io, Caravaggio.

www.cesare-capitani.com

Moi Caravage de Cesare Capitani au Lucernaire

Le 24 février 2017

Article sur A bride abattue

[...]Dans la salle, la lumière diminue et le noir se fait. Apparait alors à jardin une forme humaine encapuchonnée d’une bure sombre qui porte l’unique source de lumière, une bougie blottie entre ses mains.

Le spectre vivant se déplace en chantant d’une voix douce et triste. Dans cette ambiance Arte Povera surgit soudain un personnage sur le devant de la scène. Personne n’en doute, c’est le Caravage réincarné. Il s’impose d’emblée tout en sensualité, sa chemise de peintre largement ouverte sur son torse, manches bouffantes, pantalon court et pieds nus.

[...]La scène est baignée de ce clair-obscur si cher à Caravage. Nous rentrons dans un de ses tableaux. C’est un autoportrait d’un réalisme fascinant qui nous est offert par Cesare Capitani. Dans la pénombre, l’éclairage des bougies ou des rais de lumière projetés sur le corps de l’acteur permettent à la sensualité érotique du Caravage d’éclore pleinement.

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"Moi, Caravage" : un peintre maudit...et attirant

Le 18 février 2017 par Catherine Schwaab

Article dans Paris Match

article dans Paris Match

« Moi Caravage », rebelle, novateur, et homme libre

Le 15 janvier 2017 par Gérald Rossi

Article sur l'Humanité.fr

Cesare Capitani, mis en scène par Stanislas Grassian incarne le peintre insoumis dont Dominique Fernandez a dressé un brûlant portrait qui sert de trame à cette poursuite.[...]

[...]Sur le plateau, avec un minimum d’accessoires, il ne s’agit pas de mimer mais de faire vivre. Nuance. Donc, pas de toile, de chevalet ou de pinceau. Juste des mots, des regards, des geste. Et quelques bougies. Dans une lumière (Dorothée Lebrun) au tempo. Le récit, comme un fleuve chargé de colères, trace sa route. Les passions submergent les rives. Jusqu’au dernier souffle. Pour une leçon d’émotions.

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Moi, Caravage illumine la scène du Lucernaire

Le 21 janvier 2017 par Stanislas Claude

Article sur Publikart.net

Le Lucernaire laisse carte blanche à Cesare Capitani pour une pièce tout en clair obscur. En mettant en lumière l’existence brève mais intense d’un des peintres majeurs de la Renaissance, le metteur en scène et comédien italien privilégie l’épure et l’évocation pour un vrai jeu d’acteur. La vie est l’oeuvre de Caravaggio se dévoilent pendant 1h15 d’un spectacle captivant. La voix puissante du comédien et les airs italiens fredonnés par la comédienne donnent des airs de cathédrale à une confession tantôt truculente tantôt tragique. De quoi donner envie de découvrir à nouveau les chefs d’oeuvre du peintre italien.[...]

[...]La salle remplie jusqu’au plafond a réservé un triomphe aux deux protagonistes. Ce Moi, Caravage ravira les amoureux de peinture et de prestations enflammées. De quoi repenser à cette pièce de longues heures après sa fin.

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Moi, Caravage les confessions brûlantes d’un peintre maudit

Janvier 2017 par Olivier Frégaville-Gratian d'Amore

Article sur ATTITUDE LUXE

Entre ombre et lumière, Cesare Capitani nous plonge dans la vie trépidante et tumultueuse du Caravage. En adaptant le fascinant roman de Dominique Fernandez, La Course à l’abîme, il nous entraîne au plus prés de ce génie incompris de la peinture. Il en dessine les moindres traits, les plus petites failles. Flamboyant, outrancier, provocateur, il a peint comme il a aimé, comme il a vécu, sans limite, sans retenue. Époustouflant ![...]

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Moi, Caravage, au théâtre du Lucernaire

Le 22 janvier 2017 par Véronique Tran Vinh

Article sur Théâtre – Spectacles – Des mots pour vous dire

[...]Par son jeu à la fois expressif et sensuel, Cesare Capitani ressuscite magnifiquement le Caravage. Mais un Caravage inattendu, étonnamment humain, dont il fait ressortir la personnalité complexe : un homme à l’âme torturée, mais aussi un jouisseur se livrant à ses pulsions charnelles ; un artiste insoumis, persécuté par l’Église, mais qui fut soutenu par le pouvoir en place… Le choix d’une femme pour jouer ses amants successifs apporte au propos une touche de douce sensualité.

Ce spectacle est une plongée dans l’univers fascinant d’un créateur dont la vie et l’œuvre sont enchevêtrées, conservant tout leur potentiel de mystère.[...]

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Moi, Caravage de Cesare Capitani

Le 20 janvier 2017 par Frédéric Arnoux

Article sur THEATRAUTEURS

Ce n’est pas un spectacle nouveau qui se donne actuellement dans la salle Rouge du théâtre du Lucernaire, puisqu’il a débuté en 2010, mais pour autant, cela reste une nouveauté pour tous ceux qui ne l’ont encore vu.

Dans une adaptation de lui-même de l’ouvrage de Dominique Fernandez, paru en 2002, « La Course à l’abîme », Cesare Capitani donne à voir et à entendre la vie triste et chaotique de Michelangelo Merisi, dit Le Caravage, peintre italien né en 1571 à Milan et mort à Port Ercole en 1610. [...]

[...]C’est là une jolie prouesse de théâtre que suggérer la peinture, et donner au public d’entrapercevoir, par fragments, les tableaux, souvent fort grands, que Caravage a peints.

Ce spectacle, osons le jeu de mots, joue sur plusieurs tableaux, et il importe vraiment d’aller l’applaudir. L’oeuvre littéraire de Dominique Fernandez, foisonnante, y est rendue dans l’essentiel de la vie de son héros, avec ses excès et ses faiblesses, son peu d’espoir et ses blessures profondes.

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« Moi, Caravage » par Lui, Cesare Capitani

Le 16 janvier 2017 par Sabine Aznar

Article sur PianoPanier.com

C’est l’histoire du peintre Michelangelo Merisi, dit Caravage (d’où vient ce nom ? réponse dans le spectacle, parmi de nombreuses autres anecdotes passionnantes). L’histoire de sa vie, depuis sa naissance jusqu’à sa mort. Comme elle fut passionnante et survoltée cette vie ! Personnage incroyablement romanesque, Caravage était un rebelle, une sorte d’écorché vif, un homme fougueux, toujours passionné, parfois violent, jamais paisible. Sa vie trépidante fut jalonnée d’aventures amoureuses avec des femmes, des hommes, des prostituées, des voyous…qui souvent lui servirent de modèles. L’existence du Caravage prit fin brusquement, dans des conditions qui demeurent obscures, à l’image de ses toiles qui marquèrent un tournant dans la peinture du XVIIe siècle.[...]

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« Moi, Caravage » : un récit épique à la mesure de ce peintre légendaire !

Le 16 janvier 2017 par Magali Sauteuil

Article sur TouteLaCulture.com

Le Caravage, ce fameux peintre du XVIIème siècle italien, cet artiste maudit tantôt adulé, tantôt détesté, a mené une vie telle qu’elle méritait bien une pièce de théâtre ! Pour découvrir la destinée tragique de Michelangelo Merisi, dit Il Caravaggio, rendez-vous jusqu’au 12 mars 2017 au Lucernaire ! [...]

[...] Si vous avez quelques lacunes en histoire de l’art, n’ayez crainte ! Si les amateurs d’art auront sûrement plaisir à revoir des tableaux qu’ils connaissent déjà sous un autre angle, les autres auront sans doute envie de les découvrir après avoir vu cette pièce. Ne ratez donc pas cette chance inespérée de pénétrer dans l’intimité de cet artiste maudit qu’est le Caravage.

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MOI, CARAVAGE – LE LUCERNAIRE

Le 12 janvier 2017

Article sur Coup de théâtre

[...]Cesare Capitani, très inspiré par la biographie rédigée par Dominique Fernandez (« La Course à l’abîme » éditée chez Grasset), met à nu sa vie sulfureuse avec un talent remarquable. Bien entendu, je pourrai vous la conter par le détail. Je préfère sans tarder vous inviter à rencontrer Caravage en personne au Lucernaire car Caravage, c’est lui, c’est Cesare Capitani. Sa force d’interprétation atteint le summum de l’exceptionnel.

Quant à la mise en scène de Stanislas Grassian, elle est stupéfiante de beauté et de réalisme : les tableaux du maître naissent fugacement sous nos yeux. Laetitia Favart, qui joue tour à tour une multitude de personnages, est talentueuse à souhait. Quant aux jeux de lumière, ils sont sublimes de magnificence.[...]

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